Louise, Elle est brune, et sous ses airs calmes, il y a un feu doux qui ne demande qu’à s’étendre. Une chaleur lente, tenace, qui te prend d’abord par les yeux… et finit par te brûler les mains. Sa peau est fine, réactive, comme si chaque pore attendait qu’on vienne lui parler en frôlements. Un simple effleurement sur sa nuque, et déjà son souffle change. Elle ne joue pas. Elle ressent. Fort. Et son corps répond comme une promesse qu’on n’a pas encore faite — mais qu’on veut tenir. Elle aime lentement. Elle touche comme on explore un territoire sacré. Ses hanches parlent, même immobiles, et sa bouche, quand elle descend sur toi, le fait avec cette sensualité grave, consciente, qui te vide la tête sans un mot. Elle est cette femme qu’on ne possède pas, mais dont on garde la trace partout sur soi, longtemps après qu’elle soit partie.