Les scientifiques recommandent davantage de sommeil et du porno pour une meilleure vie sexuelle

Les scientifiques recommandent davantage de sommeil et du porno pour une meilleure vie sexuelle

Nous n’aimons jamais autant les conclusions d’études scientifiques lorsqu’elles vont dans le sens d’habitude pour lesquelles on se sent un peu honteux! La très sérieuse revue «Journal of Sexual Medecine» vient de publier deux articles qui feront des heureux … et des heureuses!

D’après le journal, en effet, augmenter le temps de sommeil aurait un effet positif sur le plaisir des femmes, tandis que pour les hommes, la visualisation de films à caractères pornographiques augmenteraient nettement la libido.

Pour réaliser cette expérience, 171 femmes ont bien voulu se prêter au jeu en acceptant de dormir et de faire l’amour (les candidatures ont dû affluer).

Le premier bilan montre qu’après une bonne nuit de sommeil, le plaisir des femmes durant l’amour est très élevé. A l’inverse, celles qui ont eu un sommeil perturbé durant la nuit déclareront avoir un plaisir assez mesuré durant l’acte sexuel.

La raison est que le taux d’hormones responsables du désir, la testostérone, chute lorsque l’on dort moins de sept heures. Cependant, le Docteur Michael Grandner, responsable de l’étude, explique que des nuits trop longues, supérieures à 10h, n’apportent pas désir supplémentaire mais peut provoquer certains troubles. A éviter donc!

Pour les hommes, l’étude a montré que la vision d’autres couples en train de faire l’amour décuplait sa propre envie vis-à-vis de sa partenaire. Ainsi, contrairement à ce que certains pouvaient croire, le porno aurait tendance à bénéficier aux couples et non à leur nuire.

Durant l’expérience, 280 hommes hétérosexuels âgés de vingt à trente ans ont noté le nombre d’heures qu’ils avaient passé à regarder des contenus pornos.

La courbe obtenue montre que le pic d’excitation est atteint pour ceux qui ont passé environ deux heures par semaine sur des sites X ou en visionnant des films X. La stimulation érotique ressentie s’est ensuite traduit par une plus grande volonté de faire l’amour à leur compagne.

Certains pourraient objecter que les consommateurs de vidéos et de photos pornographiques sont déjà enclins à avoir des rapports sexuels fréquents. Impossible donc de dire s’il s’agit d’une cause ou d’une conséquence.

En revanche, nous pouvons désormais déduire de cette étude à quoi pourrait ressembler une journée parfaite pour faire des galipettes: Pendant que madame fait une grasse mâtinée bien méritée, monsieur part recharger ses batteries érotiques avec des films pour adultes.

Avouez que c’est un plan qui pourrait convenir à beaucoup!


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